Celui qui a un maître n'est pas maître de ce qu'il porte sur le dos.
Là où on s’aime, il ne fait jamais nuit.
L'ombre du Pygmée est plus grande au soleil couchant.
Qui se blesse soi-même ne se manque jamais.
Quand tu lances la flèche de la vérité trempe la pointe dans du miel.
L'eau du fleuve ne retourne pas à sa source.
Il faut façonner l’argile pendant qu’elle est molle.
Le vieux se chauffe avec le bois récolté dans sa jeunesse.
Mieux vaut se briser la jambe que briser sa parole.
La vie c'est comme une lanière de sandale : avant qu'elle soit rompue, on ne peut pas savoir où cela va se produire
Même l'éléphant peut mourir d'un coup de sagaie.
Bouche de miel, cœur de fiel.
Celui qui demande qu'on lui répète, n'est pas forcément sourd
La main de celui qui demande est toujours en dessous de celle de celui à qui il demande.
La parole est une balle de fusil, on ne peut pas la rattraper si elle s'échappe
Quelle que soit la maigreur de l'éléphant, ses couilles remplissent toujours la marmite.
L'homme est comme le poivre, tu ne le connais pas avant de l'avoir mâché
Là où la hache va, c'est pour couper du bois
Ne pas savoir" n'est pas recommandé, mais "ne pas questionner "est pire
On ne peut pas tresser la tête d'un absent.
Quand le djinn veut du tamarin, quiconque monte sur le tamarinier, tombe.
Le fleuve fait des détours parce que personne ne lui montre le chemin